Adlëvania
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Monde médiéval fantastique
 
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 Azret

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Azret
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Masculin
Nombre de messages : 1
Age : 32
Date d'inscription : 27/07/2007

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MessageSujet: Azret   Azret Icon_minipostedVen 27 Juil - 11:19

Nom : ?

Prénom : ?

Surnom : Azret est son seul nom connu.

Age : 37 ans

Classe : Assassin

Race : Humain

Sexe : Masculin

Apparence : Azret est un homme de taille tout à fait honorable. Il porte des cheveux relativement courts et bruns, parsemés de quelques mèches grises. De carrure athlétique, il a des épaules pourtant basses et semble formaté pour la vitesse, avec ses gestes vifs et sa démarche élastique. Un charisme écrasant se dégage de lui, ce qui en fait un leader désigné d’avance. Il n’est pas particulièrement beau, avec son visage taillé à la serpe, mais il garde un charme puissant. Il porte généralement une tenue entièrement en cuir, afin de se protéger plus facilement des attaques à la lame. Il porte également un nombre incalculable de tatouages qui ont pour lui un sens profond, dont les plus remarquables sont un scorpion sur son épaule gauche et un symbole complexe en forme de W sur l’aine, le même exactement que celui tatoué dans le cou d’Ellundril.

Caractère : Azret s’est forgé au fil des années une personnalité en acier trempé. Il ne sait s’attacher à rien ni a personne, il a perdu tout sentiments humains. Au moins c’est ce à quoi il aimerait aboutir. Il dirige son organisation d’une main de fer et ne laisse jamais une émotion faire pencher ses décisions. Il tue sans la moindre hésitation. Il est la dureté à l’état pur. Etant un assassin, un chasseur comme il aime se définir, il est aussi doté d’une intelligence, d’une ruse et d’une vitesse de décision à toute épreuve.

Histoire : Azret est né dans un foyer chaleureux, entouré de deux parents aimants, et d’une grande sœur attentive. Il vécut les premières années de sa vie en leur compagnie, toujours plus protégé du monde, dans son cocon d’amour et de bonheur. Il était l’enfant le plus doux et le plus sensible du monde. Jusqu’à ses cinq ans... Jusqu’au jour où débarqua dans son village une horde de brigands, décidée à mettre à sac et à piller son village de fond en comble.

Ce fut une scène de fin du monde. Des enfants hurlaient, pleuraient, appelaient vainement leurs parents tandis que des flammes dévoraient les toits de chaumes des habitations du petit village. C’était la débandade, les villageois couraient en tout sens, couraient à la mort, couraient vers les bandits et se plantaient sur leurs épées. Au milieu de tout ce carnage, le jeune Azret pleurait en silence. On ne lui avait jamais dit que de telles horreurs existaient dans son utopie. Son père entra soudain dans son champ de vision. Il l’appela. L’homme ne l’entendit pas. Un cavalier passa aux cotes de son géniteur, lui trancha la gorge. Son sang gicla jusque sur la joue de son fils. Azret cessa de pleurer, et partie à la recherche de sa mère, au travers du massacre. Ses pas le menèrent jusqu'à sa maison. Un cadavre gisait, carbonisé sur le sol. Il s’allongea près de sa mère, se blottit contre sa poitrine et attendit. Lorsque tout fut finit, il vit la bande de brigands repartirent un hurlant de joie. L’un d’eux emmenait sa sœur avec lui.

Azret fut recueilli dans un orphelinat d’Adlevania où il passa les années suivantes de sa vie. Jamais ne le quitta le sentiment de trahison qu’il ressentait, de façon totalement irrationnelle. Les sages qui l’avaient examinés avaient tous conclus à la même chose, à savoir que cette haine farouche envers ses parents, sa sœur et tout le monde adulte, venait de cette sensation, qui était né de son esprit pour se protéger contre le départ. Azret imposa rapidement son règne de tyran sur l’orphelinat et commença à se créer une petite troupe de minuscules hommes de main, prêts à tout pour le servir. Il n’aimait rien ni personne, sauf une femme, de l’orphelinat. Cette femme qui l’avait si souvent serré dans ses bras la nuit lorsque, jeune arrivé à l’orphelinat, il revoyait encore chaque soir le massacre de ses parents. Elle était jeune, elle devait avoir à peine 17 ans, blonde comme les blés et avec un sourire d’ange. Elle mourut peu de temps après son arrivée de la peste typhoïde.

Pour le jeune Azret, c’était une nouvelle preuve de l’incompétence des adultes et du fait que l’on était toujours trahit pas les êtres aimés. A cette époque, à peine âgé de 9 ans, le jeune garçon se jura de ne plus jamais ressentir de pitié et qu’il ne s’attacherai plus à personne.

Au fur et à mesure des années et comme il affermissait son pouvoir sur les autres pensionnaires, il se mit à considérer les vies humaines avec détachement, comme une quantité négligeable. Lorsqu’il tua un de ses plus fidèles acolytes pour l’exemple, pour simplement prouver aux autres qu’ils ne tenaient à personne, Azret fut renvoyé de l’orphelinat et laissé à la rue, où l’on pensait qu’il mourrait. Il avait alors 16 ans.

Il recommença à créer en dehors le système qu’il avait créer à l’intérieur de l’orphelinat, à savoir sa domination entière et complète sur un groupe de mercenaires prêts à tout. Sauf que cette fois, les règles du jeu était différentes. Il était le maître incontesté et leur but était de tuer. Azret avait mûrit sa philosophie du monde. Il voulait le chaos. Il voulait devenir le maître de ce monde branlant et le conduire à la chute, il voulait tuer tous ces adultes qui décevaient les enfants, ils voulaient tuer tous ces enfants qui deviendraient des adultes, il voulait qu’ils meurent tous. Et qu’il ne reste plus que lui.

Sa domination s’appuyait pour beaucoup sur cette idée d’un anarchisme poussé à l’extrême, ce défi lancé au gouvernement, sur cette volonté de tout faire sauter, sur son charisme et sur son intransigeance. Tous ces subordonnés se savaient inutiles et non aimés du maître. Mais ils ne perdaient jamais l’espoir de le devenir. Cette organisation de brigands prit peu à peu de l’ampleur, jusqu'à se donner un nom, la Main Noire. Des castes s’y sont créées, une hiérarchie complexe s’y est installée, plaçant évidemment le chef incontesté au sommet de la pyramide. Tous les criminels d’Adlevania et de Karméa, qu’ils soient tueurs à gages ou voleur d’une miche de pain, se réclame d’Azret sans que l’on ne sache trop si cela est vrai ou non. La Main Noire est devenue l’excuse et la patrie de tous. Rares sont les adhérents qui ont déjà échangé quelques mots avec leur maître. Mais cela ne les dérange pas. Azret est devenu un mythe, un intouchable. Ce qui est bien pratique, car aucun de ses sbires ne peut ne dénoncer, ne l’ayant jamais rencontré.

Il y a de cela neuf ans, Azret rencontrait lors d’une de ses chasses nocturnes une femmes, une tueuse en perdition, comme lui, orpheline, comme lui, désabusée, comme lui... Pour la première fois de sa vie, Azret se sentit presque proche de quelqu’un d’autre que lui-même. Il repoussa cette idée des qu’elle arriva à lui. Cette femme était un peu plus jeune que lui, un peu plus naïve, un peu moins ambitieuse mais tellement plus farouche. Cette femme s’appelait Ellundril Chariakan. Elle rejoignit La Main Noire dans les plus hautes sphères sur l’heure.

Il devint peu à peu de plus en plus proche de cette femme. En plus d’être son amant, il était son entraîneur de combat aux lames, discipline qu’elle maîtrisait pourtant déjà fort honorablement. Elle était son disciple le plus fervent. Il aurait pu exiger a peu près tout et n’importe quoi de cette femme, qui s’averrait un atout important dans les principaux attentats perpétré par la branche première de la Main Noire. Pour montré l’admiration qu’elle lui portait, Ellundril s’était même fait tatouer le même symbole que lui sur la gorge, pour marquer le point le plus faible de son anatomie et l’associer à lui.

Pour la première fois depuis des années, il lui semblait qu’il appréciait et respectait presque quelqu’un. Il avait néanmoins tué tous les idiots qui avaient eu le culot de lui sous-entendre une telle possibilité. Il resta avec Ellundril pendant longtemps. La relation qu’ils entretenaient n’était pas de l’amour, non, loin de là. C’était un respect mutuel du à l’habileté au combat de l’autre, à son intelligence. Ils étaient égaux, presque, ils se ressemblaient et c’est en cela qu’ils se supportaient.

Une nuit cependant, cela faisait près de sept ans qu’il connaissait Ellundril, Azret revint au village de son enfance. C’était étrange. C’était comme avant l’attaque. Avec des poules qui courent en caquetant, poursuivies par des enfants rieurs, avec des rires, avec plein de bonheur. Un enfant courait vers lui. C’était un petit garçon. Il tenait une grenouille entre ses mains. Il lui tendit en riant.

« Regarde, papa, c’est moi qui l’ai attrapée ! Elle s’appelle Valentine ! »

Une autre voix retentit alors. Une voix familière.

« Oh, c’est un très joli prénom, Valentine, mon chéri ! Allez, va donc la présenter à tes amis. »

Il sentit une main se poser sur sa taille. Il se retourna. Ellundril se tenait près de lui.
Il se réveilla. Il était couvert de sueur et tremblait comme rarement. Il regarda la jeune femme qui dormait à ses côtés. Il réalisa alors combien il s’était attaché à elle. Azret se mit à pleurer, pour la première fois depuis le massacre de ses parents. Non, il ne voulait pas s’attacher, il ne voulait pas, cela faisait trop mal, de s’attacher... Alors la solution lui apparut. Il se leva, tout à fait calmé à présent que le problème lui paraissait si abstrait. Il empoigna le katana qui dormait à ses cotés, le sortit de son étui. Ellundril n’avait pas esquissé un mouvement. Elle dormait dans la pâle lumière de la lune. Azret sourit. Lui planta sa lame dans l’abdomen. Il se retourna, prit son manteau, l’enfila, essuya sa lame sur un coin de draps propres et la laissa la.

Il reprit ses activités avec plus de cruauté et d’assiduité que ses 7 dernières années. Il travailla au chaos ainsi pendant deux ans. Il y a un mois, il avait appris en se promenant au détour d’une ruelle qu’Ellundril était en vie. Son visage était placardé sur les murs de Saphyraa. Sa haine le reprit. Il fallait qu’il la détruise. Il devait la détruire pour vivre. Elle allait le trahir sans ça. Il fallait qu’il la tue, il fallait qu’il la tue... Il mandata un mage pour la liquider au plus vite sans avoir à l’approcher. L’histoire ne dit pas ce qu’il advint ensuite.

Aime : Dominer, tuer, entendre ses victimes le supplier avant de mourir, le contraste du sang sur la lame argent de son katana, se délecter de la peur qui se peint sur le visage des autres.

N'aime pas : Les joutes trop faciles, les faibles, les gens qui l’entourent, voir le bonheur des gens quand il passe dans la rue, se rappeler que personne ne l’attends nulle part, se sentir en position de faiblesse.

Loisirs : Chasser l’humain. Tuer. Faire couleur du sang. Se battre à la lame. Et vaincre.

Famille : Pas qu’il sache.

Emploi : Figure de proue de la Main Noire

Pouvoir(s) : Aucun, si ce n’est une faculté impressionnante a manier les armes, qui ne vient que de son entraînement acharné néanmoins.

Arme(s) : Azret est une armurerie ambulante. Il porte un katana léger en travers du dos, une petite dague attachée à chaque mollet et un poignard courbe à la ceinture. Ayant été le mentor d’Ellundril, c’est lui qui lui a appris a installer deux minuscules lames rétractables sur le dessus de ses poings, camouflées sous des bandes de cuir.

Sa plus grande peur : S’attacher à quelqu’un, à quelque chose, se lier, perdre sa liberté, ressentir la moindre émotion.

Penchant : Mal
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