Le Bar

~Le bar de l'Auberge surplombe la grande salle montée de plusieurs grosses tables rondes. Plusieurs habitués sont présents dans la salle, d'autant plus que l'escalier mène à la section "Auberge", ce qui augmente la fréquentation. Quelques employés restent au bar, tandis que d'autre s'affairent d'un rythme effréné d'une table à une autre pour servir les clients impatients qui demandent leur chope de bière ou de Whiskey.~

Le Prince franchit la porte du bar, probablement talonné de Valturik, et s'assit sur l'un des nombreux tabourets du bar. Commandant deux bières avec les quelques pièces qu'il lui restaient, Eldorino se tourna vers la salle pour balayer du regard les personnes présentes. Se tournant vers son compagnon de route, il lui dit, d'un air presque hagard:

"Eh bien nous y voilà! À qui pensez-vous que nous pourrions le demander? Au serveur peut-être? Bon, d'accord, je m'occupe du serveur, vous trouvez quelqu'un d'autre..."

Sans attendre la réponse de son ami, qui serait probablement négative, il se tourna vers le serveur pour lui parler de la bibliothèque. Celui-ci lui appris qu'il y en avait bien une, mais ses indications étaient trop imprécises pour le conduire directement là-bas. Eldorino se mit à boire à petites gorgées dans sa bière.

Vu qu'Eldorino avait prit une initiative sans même laisser a Valturik le temp de parler... Valturik alle demander au tenant du bar, qui lui dit qu'il y avavit bien une bibliotheque mais qu'elle se trouvait au centre d'adlëvania... Alors Valturik s'empressa de revenir auprés de son compagnon qui semblait revenir bredouille et il lui dit:

"Ne t'inquiete pas j'ai eu l'information par le tenant du bar ... Il m'a conseiller d'aller a Adlëvania... Nous allons donc devoir nous mettre en chemin... ".

[Excuse moi, j'etais partis quelque part]

Eldorino reprit le sourire à l'annonce de son compagnon, la tête lui tournant un peu à cause de la bière. Partant à rire, il se tourna vers la porte et se mit à marcher sur un pas de soldat, puis fit demi-tour en regardant Valturik. Le sourire aux lèvres, titubant un peu, il revint sur ses pas.

"T'as raison Vlaltutu! Dépêchons-nous, avant que la route ne change de place et qu'elle nous emmène ailleurs! Hi hi hi!"

Puis, comme par hasard, mettant le pied sur une planche de bois relevée, le Prince tomba la face dans un seau d'eau, ce qui eut pour effet de le remettre dans son état normal. Quelques clients s'esclaffèrent, tandis qu'Eldorino se relevait tant bien que mal, sa barbe mouillée... Jetant un regard embarrassé à la salle, il dit à Valturik:

"Allons-y..."

Kolios rentra dans l'auberge, avec aux bras la jeune fille malade. Au moment de son entré tout les client se retourna vers lui silencieux et commença à chuchoter entre eux. Agaçé mais décidé à ignoré leur chuchotement, il s'avença vers l'aubergiste qui se recrovilla à son approche. Il laissa échappé une bourse remplie de pièce d'argent sur son bourreau.

"Je veux deux chambre pour la nuit, un repas pour trois personne et tu vas me trouver quelqu'un qui va me renseigner sur le tertre sacré. Tu as jusqu'a l'heure du souper pour me trouver tout sa."

Il laissa échapper une autre bourse

"Cette jeune fille je l'ai trouver au prise avec des gobelins, elle est de votre village non? Trouver lui un guérisseur et occupez-vous en jusqu'a ce qu'elle va mieux."

C'était étrange, il n'aurait pas été obligé de faire tout cela pour la jeune femme, mais un étrange sentiment l'obligeait à s'occuper d'elle. Est-ce que c'était vraiment pour son intéret personnelle qui l'avait sauvé.

(J'aurais besoin du NPC pour la suite)

[Un peu plus d'indications seraient bien. Vous vous attendez à quel sorte de réaction?]

Le Prince entra d'un air distrait dans l'Auberge, bien après l'inconnu. Il passa la porte, sa bouche figée dans une expression fermée de questionnement. Il demanda rapidement à l'Aubergiste si un client étrange était passé plus tôt, et à la réponse positive de l'homme, qui lui montra l'argent que l'inconnu avait laissé, Eldorino secoua la tête, trouvant presque ça drôle. Il ne lui avait pas mentit... Mais c'était hors de question: Eldorino posa sur la table quelques pièces en disant au tavernier qu'il pouvait le considérer comme son repas de payer, et prendre le surplus de l'homme comme pourboire. En même temps, il se commanda un petit casse-croûte en se remémorant son château d'été, près de Drayaë, et songea que sa prochaine destination pourrait peut-être être dans les sud... Enfin, pour l'instant, il était au nord en compagnie d'un être au penchant mal, dans une petite auberge, alors il serait peut-être bien d'oublier les beaux petits points d'eau entourés de gazon gras et vert... Sur ces pensées, il but quelques gorgées du seul vin que l'auberge offrait, un vin de Fryülüm, justement. Il n'était pas si mauvais, d'ailleurs! En buvant quelques gorgées, il balaya distraitement la salle du regard au cas où Valturik était encore là.

Kolios s'étirra tout en descendant l'escalier, il avait passé tout son temps à dormir depuis qu'il était rentré dans l'auberge. Il passa un regard rapide dans la salle, Eldorino était là et le repas était prêt mais le troisième invité n'était pas encore arrivé, il aurait deux mots a dire à l'aubergiste plus tard.

Il leva son bras et s'exclama sans aucune animosité.

"Hey l'ami! Sa va!? "

Il regarda Eldorino manger un léger casse-croute que l'aubergiste lui avait preparer.

"Alors on a peur que j'ai empoisonné, vous devriez, mais ce n'est pas moi qui les aient cuisiné alors vous devriez avoir une chance de survivre"

Dit-il tout en riant et en se servant, un bonne portion d'un lapin rôti.

Eldorino venait de finir son amuse-gueule en attendant son repas, lorsque la voix de l'inconnu, tonitruante mais sans aucune animosité, sonna derrière lui. Il détourna la tête vers l'homme, et le regarda approcher, semblant tout juste étiré d'un sommeil. Le Prince répondit d'un sourire qui en disait long pour s'enquérir de la première question, mais lui dit quelques mots à la deuxième:

"Oh non! Ce n'est pas de la peur, Inconnu. C'est juste que je n'aime pas qu'on me paye des choses. Et en passant, ces petits mets n'étaient qu'une entrée en vous attendant. Alors, pas de quoi vous fâcher, hein! Mais trêve de bavarderie, l'aubergiste a dit que nous étions trois? Or, je ne vois que vous et moi...", dit-il d'un ton léger en finissant la dernière bouchée d'un petit fourré.

Il afficha un petit sourire, inquisiteur à souhait, tout en regardant l'homme de façon étrange. Il tapota de son doigt sur la table.

Kolios écouta l'homme, tout en croquant à pleine dent dans un morceau de viande. Il faillit s'étouffer, en riant quand il a vu l'étranger sourire ainsi, il but une grande coupe de vin pour faire passé le tout.

"Oui, j'ai demandé à l'aubergiste de nous trouver un conteur. Vous vous souvenez je vous ai dit que je suis venu étudier un endroit, le tertre sacré. La seule chose que je sais c'est qu'il se trouve dans les montagnes. Dans toute fâbles il a une once de vérité et j'espère trouvé ce qui me manque comme donné ce soir, je vous ai invité parce que j'ai cru que vous trouveriez peut-être cela interressant."

Il se servit quelque, légume et du pain. Sa faisait bien longtemps qu'il n'avait pas aussi bien mangé.

"Peut-être une autre chose, c'est un endroit, dit-on, qui dégage une puissance phénoménale..."

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Après avoir servi plusieurs clients, l'aubergiste s'approcha de la table avec un apparent dédain au visage. Lorsqu'il fut à environ un mètre de leur table, l'aubergiste les salua froidement.

"Bien le bonjour à vous, messeigneurs. Il avait une voix nasillarde et extrêmement sarcastique. Je tenais à vous informer qu'un vieil homme de la région viendrait sous peu vous voir, afin de vous parler du tertre sacré..."

L'homme fit mine de s'en aller avant de revenir rapidement sur ces pas...

"J'oubliais... La jeune femme se serait réveillée et elle désirerait vous voir lorsque vous aurez deux minutes."

Et il s'éloigna sans demander son reste.

Eldorino sourcilla en finissant un petit morceau de civet de lapin, puis engloutit sa bouchée en vitesse pour poser une question, sembla se ravir, puis décida de l'énoncer:

"Heu... Et je trouverais intéressant une puissance phénoménale? Et elle servirait à quoi cette puissance phénoménale?"

Bien que le Prince aimait voir de la magie, il se méfiait, à cause du penchant de l'homme, sur ce qu'il pouvait lui montrer... L'Aubergiste arriva à ce moment, les interrompants de sa voix cassante. Eldorino retourna sa tête à son assiette après que le tavernier eut laissé croire à ce dernier que le message s'adressait principalement à Kolios, vu que lui-même n'avait rien demandé d'autre que de la nourriture. Jouant de sa fourchette dans un morceaux de ragoût, il se surprit à regretter le château, bien que ce fût sans doute sa seule raison de le faire... Il prit distraitement une gorgée d'eau, sans toucher à son assiette.

(Dsl pas pu répondre avant)

Kolios plissa les yeux et sourit, il faisait son doigt sur le bord de sa coupe de vin, un petit son en émettait. Il finit par lançé en regardant Eldorino:

"Un homme en quête de savoir en cherchera toujours un plus grand."

Un grand son strident émettait maintenant du verre, il arrêta son doigt et le bruit disparu. Il se leva et dit;

"Vous permettez, je vais aller voir comment se porte ma petite protéger."

Il eu un sourire sincère, ce qui l'étonna , il commença à monter l'escalier.

"Si notre inviter se pointe, server lui une grande coupe de vin de ma pars et acceuillez le comme il se doit."

Eldorino perdit son regard dans la coupe. Le bruit, au début cristallin, cessa subitement, après une phrase de l'inconnu. C'était bien vrai... Et ça expliquais plusieurs choses. Mais aucune qui soit d'augure particulièrement bonne... Il accota sa fourchette contre ses dents, le métal martelé tintant légèrement avec ces dernières lorsqu'il la déplaçait, d'un mouvement répétitif. Il hocha sérieusement de la tête lorsque l'homme partit, et fit de même pour sa requête. Il se passa une main dans les cheveux, et s'essuya la bouche d'un geste distrait avec la petite serviette que l'aubergiste avait eu la grande classe de leur emmener... Il tapota de son doigt sur la table, trop de pensées se bousculants dans sa tête. Beaucoup de choses s'étaient passées dans les derniers jours, et rencontrer un homme sympathique qui avait pourtant un penchant obscur était étrange. D'autant plus que la pensée de son château d'été lui revenait souvent, celui du seul château qu'il eut aimé car il n'y eut pas eu de cours... Il laissa les pensées couler, tout en mangeant lentement.