La demeure d'Olyan

~Une petite habitation confortable faite de pierre sert de demeure pour Olyan. Elle est composé de trois pièces. La chambre, la cuisine et le salon. La cuisine peut acceuillir confortablement 4 personnes, et un peu plus. La place est limitée. Le plancher de toute la demeure est en bois, la pierre étant bien trop froide, surtout l'hiver.

Le petit salon possède une chaise berçante où le conteur s'installe lors de soirée, ainsi que quelques chaises. Un foyer y est aménagé qui brûle constamment l'hiver.

Finalement, la chambre. Un grand lit au matelas confortable est placé contre le mur. Un commode, une table de travail ainsi qu'une table de chevet se trouve près du lit. Sur la table de chevet se trouve un petit chandelier portatif pour le soir. De nombreux parchemins vierges ont été éparpillé sur la table de travail. L'encrier est bien placé à sa place avec la plume.~

Olyan se réveilla aux petites heures du matin. L'air était encore fraîche. Dans cette douceur matinale, la douce présence de Lorhènya vint caresser la peau chaude du jeune homme, encore un peu endormi.

*Lorhènya...*

Cela faisait maintenant presque un an qu'il était partie à la recherche de ses ingrédients. Il savait par cette présence spectrale qu'elle était toujours vivant, combattant la maladie qui la gagnait tranquillement. Il lui manquait encore de nombreux ingrédients rares comme : la poudre de dent de minotaure, une huile de bave de chenille rayon bleu et mauve, toujours de plus en plus farfelue et rare. Mais ce qui le surprenait un peu, c'est que tous ces ingrédients existaient vraiment!

Un jour alors qu'il se promenait parmi des marchands, il en trouva beaucoup, mais le problème, s'était le prix exorbitant de ces ingrédients. Il dût renoncer à les acheter et se mit en quête de les trouver par lui-même.

Il se leva donc après une dizaine de minutes à respirer la tendre odeur de son amour, pour aller faire sa toilette. Il revint une quinzaine de minutes plus tard, frais et dispo. Il s'habilla de vêtements fraîchement lavé de la veille, et s'arma de son épée. Qui magiquement et inexpliquablement, rapetissait pour entrer dans un fourreau beaucoup trop petit pour la grosseur de la lame. Avant de sortir, il ouvrit la fenêtre de sa cuisine pour laisser entrer la lumière du soleil levant, tout en se préparant un petit déjeuner.

Il coupa son pain en deux avant d'y appliquer un mélange de baies et d'un peu de viande séché, pour donner une certaine consistance à son repas. Après ce déjeuner, il sortit de sa maison, faire un petit de tour de la ville.

Olyan se réveilla lorsqu'un rayon de soleil vint éclairé ses paupières fermées. Ce n'était pas dans ses habitudes de dormir autant, mais l'alcool pouvait lui faire cet effet parfois... Il se leva donc, alors que le soleil s'était déjà levé quelques heures plus tôt. Il fit sa toilette, s'habilla, pour finalement déjeuner. Après son repas, il entreprit de faire son sac de voyage. Il attacha le fourreau de son épée à sa ceinture, avant de mettre son sac sur ses épaules. Le même sac qu'il avait lorsqu'il avait rencontré Lorhènya... Qu'elle lui manquait!

Après une courte prière, il se dirigea vers la porte, avec une lettre qu'il venait d'écrire pour son patron. Il la laisserait en passant. Dans cette lettre, il expliquait qu'il devait quitter la ville pour un certain temps et ne pourrait pas travailler. Il s'en voulait un peu de ne pas lui laisser de temps pour trouver quelqu'un.

Après un dernier regard à sa maison, il referma la porte et mis le cap sur la forêt du centre, où il trouvera la grande tour des mages...

[La grande forêt]

Le groupe constituer d’Olyan, Kiyoshiro et d’Ayame, arriva finalement après quelques minute de marche a la demeure d’Olyan. Elle était toujours derrière son chef. Elle aimait l’appeler son chef.

Pendant tout les chemin elle garda le silence, garda son visage neutre. Si Olyan ne voulait pas lui dire qui il était vraiment, bien ainsi sois-t-il ce n’ai pas elle qui va lui dire, mai elle a remarque que l’homme la fixait un peu trop, ce qui la fit rougir un peut. Elle regarda devant elle et vit Olyan mettre la clef dans la serrure de sa maison.

Olyan arriva donc à sa maison et s'arrêta quelques instants, pour l'admirer. Ce n'était pas la meilleure, mais elle suffisait très bien pour ses besoins, surtout que c'était bien supérieur à ce qu'il avait eu pendant ses jeunes années où il a parcouru le monde. Après ce moment de nostalgie, il se dirigea vers la porte et l'ouvrit. Il entra à l'intérieur. La poussière ne commençait qu'à s'installer sur le meublier, et les particules en suspension faisait un halo lumineux par les fenêtres, où pénétrait la lumière. Il fit quelques pas dans la maison, se remémorant presque tous les moments qu'il y passa. C'est avec tristesse qu'il se dit qu'il reverrait peut-être jamais cette maison...

C'est avec une force surprenante que la raison pour laquelle ils étaient là lui revint, le faisant presque vaciller sur ses solides jambes. Il porta une main à sa tête et la laissa tomber aussitôt, le malaise passé. Il se retourna et vit qu'Ayame et Kiyoshiro étaient aussi entrés dans la maison.

"Fermes la porte Ayame, sil-te-plaît." dit-il en la regardant. Il se tourna pas la suite vers Kiyoshiro. "Assisez-vous, je vous pris. Je vais préparer des boissons."

Il se retourna, les laissant à la table de la cuisine. Pendant se temps, il alla chercher trois choppes, qu'il remplit d'une bière brune et un peu amer. Il revint ensuite vers les deux jeunes gens qui l'attendaient, et y déposa leurs choppes. Il garda la sienne dans sa main et en prit plusieurs gorgées.

"Alors... Kiyoshiro, c'est sa? Vous avez dit que vous cherchiez Olyan... Que lui voulez-vous exactement? Et pas de mensonge, car vous êtes un bien piètre menteur et que si je vous revois mentir, vous n'aimerez pas ce qui suivra..."

Olyan avait utilisé une voix menaçante, tranchante et froide. Il ne désirait absolument pas éterniser cette 'conversation'. Bref, il n'attendit pas les réponses avant de continuer un peu plus...

"Et vous, Kiyoshiro, qui êtes vous exactement? Je suis sûr que vous n'êtes pas ici juste pour le rencontrer, pas plus que vous êtes aventurier ou simple paysan. Vous avez un but et je veux le connaître. Alors?"

Ayame entra dans la demeure a la suite du nouveau venu, elle n’avait toujours pas dit un mots… la peur peut-être? Qui sait? Elle fermi la parte comme Olyan lui avait demander par la suite elle prit place a la table et se tint droite pour montré bonne impression a l’invité de son nouveau maître.

Olyan arriva quelque minutes plus tard avec des choppes de bière, bien qu’elle n’aimait pas cela, elle fit un effort pour en boire quelque gorger et tenta de cacher du mieux qu’elle pouvait sa figure de dégoût.

D’un coup elle fit un de ces saut lorsqu’ Olyan de sa grosse voix perça le silence en posant des questions a Kiyoshiro, toujours dans le silence elle détourna les yeux. Pourquoi jouait-il la comédie si brusquement au lieu de tout simplement dire la vérité.

Kolios décida de suivre cet étrange groupe, car il était avide de savoir ce que devenait le roi Olyan. Il est vrai qu'il avait projeté de le renverser il y a 10 ans pour son propre goût pour le pouvoir mais trop de chose avait empêcher de mettre son plan à éxécution...(soupir). Maintenant quand il repense à cette idée, il l'a trouve franchement ridicule.

Kolios les suivit donc, pour pas qu'il ne repère il avait emprunté sa forme d'ombre.Il les avait suivi jusqu'a une maison qu'ils entreprirent d'ouvrir. Kolios se faufilla, à l'intérieur au moment qu'ils fermèrent la porte. Dans la maison, il se cacha à même l'ombre de l'inconnu. personne ne semblait avoir remarquer qu'une quatrième âme avait pénétrer dans cette maison.

Il posa une question et il devait y répondre sinon… Il n’eut le temps de répondre et il lançait déjà la question suivante. Il prit son souffle lentement et bu une autre gorger.

"Merci pour la choppe, bien je vois que je ne peut mentir. Je me nomme Kiyoshiro Irustu et je suis le protecteur officiel du roi Olyan Kosia, qui est en fais le roi du continent de Karméa. Un jour la reine est gravement tombée malade, alors il décida d’aller à la recherche des ingrédients… je voulais le suivre, rester avec lui, le protéger et vivre des super aventure en sa compagnie, mais il est partie sans dire un mots. Le matin tout le château était a sa recherche, c’est alors que nous avons fais la déduction. Le lendemain je faisais mon sac et je pris route. Entre temps je suis devenu héro, fier de mon coup… mais c’est joie non agréable à ressentir sans mon grand ami… c’est la première piste que j’ai depuis des mois."

Il reprit deux, trois gorger et continua, "Et oui maintenant vous savez tout, qui je suis et pourquoi je recherche Olyan, alors maintenant faite votre part sinon c vous qui n’allez aimer la suite." D’un ton de voix très calme.

Olyan le regardait, mais il ne comprenait pas. Il recula d'un pas ou deux, le regard, comme s'il venait de voir un fantôme. Il balbutia quelques mots incompréhensibles avant d'articuler plus clairement, ces quelques mots :

"Quoi.... mais... comment savez-vous tous ça...? Je ne comprends... il me manque quelque chose ici... comment ce fait-il que je ne me rappelle pas de cela... C'est insensé..."

Il se retourna, portant sa main à sa tête, réfléchissant à toute vitesse, tout en ne comprenant pas ce qui se passait si rapidement autour de lui. Il s'éloigna, en marchant lentement, jusqu'à sa chambre. Il en revint quelques minutes plus tard, toujours en marchant aussi lentement.

"Je... crois me rappeler... maintenant. Laisser moi me préparer... Nous partons bientôt."

Olyan laissa ses deux invités à la table et retourna dans sa chambre. Il sortit de l'un de ses tiroirs, de beaux habits de cours ainsi que ses meilleurs habits de routes, qu'il portait lorsqu'il était partie du château. Aussitôt qu'il avait trouvé un village, il s'était acheté de nouveaux vêtements pour pas qu'on le reconnaisse. Il revêtait maintenant ses habits, et il retournerait auprès de celle qu'il aime. Bientôt. Ils avaient un arrêt à faire, dans le sud glacial... Il leur restait un ingrédient, et ils pourraient ensuite rentrer au bercail.

Il sortit finalement de sa chambre, et se dirigea vers la cuisine. Il en sortit un peu de nourriture qui se gardait longtemps, et ressortit par l'arrière. Il y avait, dans un petit étable caché, trois chevaux sellés ainsi qu'une bête de bât, qui pourraient transporter leur équipement. Il revint à l'intérieur et leur dit, tout simplement:

"Nous partons. Venez à l'arrière, les chevaux nous attendent." et il s'en retourna.

Ayame ne savait plus trop comment réagir, tout se passait si rapidement… elle regarda Olyan quitter la pièce en se tenant la tête. Elle fixa l’inviter avec des gros yeux, toujours silencieuse, se coup la c’était tout simplement causé a un manque de parole… elle ne savait tout simplement quoi dire.

Quelques secondes plus tard Olyan revint et invita les personne présente a aller derrière, les chevaux était déjà sellé. Elle sourit, enfin de l’action. Elle regarda son boc et soupira, elle regarda Kiyoshiro et lui dit :

"Tenez je vous l’offre, je ne pourrai la finir", elle chuchota, "je n’aime point le goût de la bière." Elle fit un clin d’œil et rejoignit son compagnon.

Que se passait-il, Kiyo était plus que perdu. L’homme ne s’était toujours pas présenter et ne savait toujours pas ou était le roi. De plus il a quitté la pièce sans dire ou il allait!

D’un coup, il réapparu en disant que nos chevaux était sellé et il quitta aussitôt. Il resta figé un moment et la jolie dame vint lui parler, celle-ci lui donna son boc de bière et quitta.

"Merci…" dit-il

Il fini les deux boc d’un trait et rejoignis les deux autre dans une confusion inexplicable.

Kolios réfléchit une seconde
*Si Ellundril s'était maintenant rangé elle n'aurait pas eu peur de rester prêt de la reine et de son conjoint or elle est parti... Cela veut dire qu'elle a toujours ce côté sombre en elle mais qu'elle tente de l'étouffé... Si elle se sent trahis par ses proches je n'aurais aucun mal à la récupérer... Si je provoquais une rencontre entre les deux, assez mouvementé...*

Kolios sourit à cette idée, il aurait peut-être une nouvelle adepte d'ici quelque jour. *Il est temps de faire savoir a ces avanturier qu'un quatrième personnage est dans cette salle...*Il se matérialisa derrière eux ,juste assez pour qu'il aperçoit une image flou et obsur de lui-même, il leur lança d'une voix caverneuse...

"La femme de l'ombre, aux grandes serres et ami du roi est toujours vivante, elle est présentement sur le village côtier d'océana et se préapare à s'embarquer sur un bateau pour Karméa, ses intentions son inconnus mais il semblerait qu'elle veut s'en prendre à la famille du roi"

Avant qu'il ne puisse réaliser ce qui vient de se passez il reprit sa forme d'ombre, il se projeta hors de la maison défonçant la porte et prit un de leurs chevaux. Content de son petit spectacle il était sûr que ces amis de Olyan l'avertirait aussitôt. Oui il ferait bien par mettre la main sur Ellundril...

[I love my job ^^]

Olyan était sur le point de monter son cheval lorsqu'il entendit la voix caverneuse dans sa propre maison! Il se retourna prestement, dégainant son épée et s'approcha tranquillement de sa main. Il écoutait toujours, cherchant du regard son ennemi. Il ne l'aperçut qu'un bref instant, lorsque la porte éclata en copeaux de bois devant lui, lui lacérant à quelques endroits la peau. Miraculeusement, il s'était protégé le visage et les yeux. Il entendit alors un son un peu trop familier derrière lui et se retourna derechef, pour voir l'un de ses chevaux prendre la poudre d'escampette avec son cavalier à la voix caverneuse. Vociférant des paroles incompréhensibles, il se rapprocha des trois chevaux restants.

*Pas de chance. Nous n'aurons pas de cheval de bât pour transporter nos bien où que nous allons. Nous devrons transporter moins de vivres, et modérer encore plus les chevaux! Grrr....*

Tempestant toujours plus, il retourna à l'intérieur de sa demeure, ignorant toujours ses deux invités. Après cinq minutes environ, il fut de retour à l'extérieur, auprès de ses invités, avec trois ou quatre planches de bois. Il entreprit rapidement de clôturer l'entrée et monta, cette fois, son cheval Kysel, un jeune étalon fort vigoureux, endurant, d'un noir d'ébène. Le cheval et le maître sont inséparable lors de leurs quêtes. Il flatta l'encolure de sa monture, lui chuchotant quelques mots avant de se retourner vers ses invités.

"Aller, montez! Ce seront vos montures, je vous les donne. Ils n'ont pas encore de noms, ce sera donc à vous d'en trouver un. Nous passerons rapidement vers le marché, nous acheter un cheval de bât ainsi que des vivres pour la randonnée. Nous changerons donc nos plans. Nous irons à Océania, au lieu d'Ëvlün, qui se trouvait dans la zone enneigée du continent. Nous irons rejoindre Ellundril, et de là, nous verrons par la suite. Qui sait, peut-être trouverons-nous ce que nous cherchons? Aller, vient mon cher Kiyo, je crois que nous avons à parler, mon vieil ami. Ma reine m'attend et je ne tiens pas à ce qu'elle souffre encore plus longtemps."

Olyan hocha de la tête et ne leur donna pas plus de temps, il commençait déjà à pousser sa monture au trot et Kiyoshiro ainsi qu'Ayame n'avaient même pas encore mis un pied dans l'étrier!

Ayame se retourna brusquement en entendant la voix, elle n’avais pas trop comprit le message. Du moment ou elle se retourna ver la porte celle-ci éclata en mille miettes, elle eu juste le temps de mettre ses mains devant elle, ce qui lui causa quelques coupure au bras. Elle se remit de ses émotions et sortie à l’extérieure et vie Olyan avec quasi les même blessures.

Olyan entra et sorti plusieurs minutes plus tard avec du bois et un marteau, il pris des clous dans sa poche et cloua les planches en guise de porte.

Il se retourna et dis que les deux chevaux restant était maintenant a eux. Il en avait trois mais l’intrus était parti avec le dernier… Elle s’avança ver le cheval blanc, c’est alors qu’Olyan dis qu’ils avait pas de nom encore, elle sourit et dit :

"Alors je la nomme Akemi, ce qui veut dire belle et brillante."

Elle eu a peine fini sa phrase qu’Olyan était déjà parti! Elle se dépêcha monté sur sa nouvelle monture

"Fait vite si tu veux nous suivre", et se lança au trousse de son maître

Kiyo en avait assez de ces poursuites sans fin, il était toujours en arrière. Il monta sur sa nouvelle monture un male, sans aucun doute d’un brun chocolat, très beau spécimen et sans y réfléchir il dit :

"Allez Tyiat, fonce!"

Et le cheval fonça a toute allure ver ces deux autre compagnons, sans trop de misère il les avait rejoint

"Alors ou allons-nous!" cria-t-il