Les grandes portes de fer

~De gigantesques portes de fer bloquent l'entré à la ville. De hauts ramparts empêchent quiconque de l'escalader ou d'essayer de la franchir. Une patrouille constante de gardes parcourent ces ramparts et de nombreuses torches sont constamment allumées pour éclairer les majestueux ramparts.~

Un charrette tiré par des boeuf et remplie de foin arriva face au grande portes...fermées. Raphaël en compagnie de Alfvöc(qui lui avait dit son nom au cours du trajet) Rgardèrent de bas au trés haut les portes. Apparament la vile était, certe fermé, même en plein jour. Aprées un trajet aussi long , le 2 hommes au jambes engourdient dessendirent de leurs banc pour voir la porte de plus prés. Alfvöc emit un commentaire auquelle Raphaël ne se soucia guère. Il posa sa mainsur la porte et la laissa glisser un peu du bout des doights vers la droite.

"ya du monde..." il continua encore un peu sans se soucier de son "camarade" de voyage."...du trouble" dit il enfin apr`s avoir lentement enlever sa main de la paroie froide et dur de la porte. Il se retourna mit sa charrue dans le gazon hors de la route, donna a manger et a boir a ses boeuf et revint enfin a Alfvöc sans dire un mot, les mains dans les poches de son manteaux.

Alfvöc se promena un certain temps autour de la charette, regardant le sol. Après environ cinq minutes, il revint sur ses pas jusqu'à un endroit qu'il avait jugé propice pour se coucher. Il défit sa cape de voyage qu'il étendit sur le sol avant de s'y asseoir. Il s'installa confortablement, regardant le couché de soleil qui descendait au loin, enflammant les pics des montagnes du Nord.

*Il va bientôt falloir du bois pour se chauffer cette nuit...*

Avant de se lever, il se rappela les paroles de Raphaël à leur arrivée.

"Tu as dit, il y a quelques minutes, qu'il y avait du trouble dans la ville? Qu'est-ce qu'y se passe?"

Il c'était assis sur le banc de la charrette sans lâcher son regard sur le haut des rampards. à l'intérieur c'était une sorte de panique, désorienté. Il entendit la question de l'étranger et haussa les épaules, ne sachant pas. Plus la nuit tombait, plus il fesait froid. Raphaël et Alfvöc allèrent chercher du bois, prirent un peu de paille et allumèrent avec un allumette. Ils mangèrent dans un silence d'intérogation. Raphaël, qui releva son regard vers le haut de la rampard, vit une lueur, qui bougeait vers la droite. il laissa sa nourriture et suivie la lueur, qui passait a présent la rampard au dessu de la porte. Raphaël dit d'une voix forte mais toujours sans conviction:

"hey la haut!" Un garde d'environ une ciquantaine d'année apparue sur le haut du grand mur. il vit le petit campement improviser sur la droite et revint sur Raphaël.

"dsl jeune homme! on ne peux laissé entrer personne!" et il disparut. Apparament ils fesait des tours de gardes serrés, il faudra en demander plus au prochain. il revint auprés de Alfvöc sans dire un mot mais le regarda en sachant qu'il avait tout entendu.

Une brise glaciale vint balayer la petite plaine où s'était installé les deux hommes. Alfvöc serra sa cape et sa couverture contre lui, frissonnant de toutes les fibres de son corps.

*Quelque chose ne va pas... ne va vraiment pas ici. Quelque chose... de terrible. Mortelle.*

Il avait en sa possession une épée de combat usée mais toujours utilisable. Elle lui avait sauvé la vie souvant et espérait quelle le fasse encore longtemps.

"Je vais essayer de dormir un peu... J'espère qu'on ne sera pas déranger..."

[Suite du post du temple...]

Louna sembla tomber du ciel, ayant complètement oublier que si le rempart était si haut du coté de la ville, il le serait aussi du coté de la liberté. Zoulia s'élança vers sa maîtresse et rattrapa sa maîtresse d'un bout de ses vêtements, ayant pour effet de ralentir sa chutte, mais non de la stopper. Elle tomba lourdement sur quelqu'un qui avait eut l'imprudence de se tenir au pied de les dit remparts.

"Gneuh... décholer..."

Fit-elle, sonnée.


[C'est de toi que je parles Raphaël ^^]

Raphaël avait vue toute la chute de la femme mais sans porter note qu'elle allait droit dessus. Lorsque l'information arriva dans ses priorités, il était trop tard, donc indubitablement, il s'est retrouvé sur le dos, à moitié assomé par u fille qui avait fait un saut vertigineux. Il entendit un murmur de désoler de la pars de la fille. Il tourn vers la drote, se retrouvant sur la fille et a l'air libre. Il se leva et tira pars le bras la fille sans aucune grâce.

"vous êtes pas morte?" demanda t'il en froncant légèrement les sourcils

Le sommeil avait gagné Alfvöc depuis un certain temps déjà. Louna venait de tomber sur Raphaël, et se dernier l'aidait à se relever. Mais dans la noirceur grossissant, s'épaississant au fur et à mesure que la lune montait dans le ciel. Des petits sons, à peine audibles, provenaient de cette noirceur. Un éclat de lame, un reflet de rayon solaire, se vit dans cette noirceur. On entendit ensuite, un cri étouffé. Les nuages passèrent et la lune refit son apparition, ouvrant ses voiles sur un spectable macabre. Le corps inanimé d'Alfvöc gisait sur le sol, la gorge tranchée, la lame si trouvant toujours. L'obscurité encore présente ne laissant pas voir le reste de son visage, mais tout d'un coup, la lame bougea et la tête se dégagea du corps, finalement soulevé dans les airs, une rivière de sang dégoulinant des morceaux de veines et d'artères pendant. Une masse sombre et poilu se trouvait au sommet du crâne. Les nuages passèrent un peu plus et trois gobelins se trouvaient là, attendant que leur repas se soit un peu refroidi.

"Gwiak gwiak!"

Louna grimaca de plus belle.

"Non je ne suis pas morte, mais surveiller vos gestes, vous me faites mal!"

Se renfrogna-t-elle en libérant son bras. Au même moment, ils entendirent d'étranges bruits derrière eux.

"Je crois que la certitude est désormais moins grande pour votre ami... Nightmare, où es-tu, il y a encore de la job..."

Grogna-t-elle sur un ton de reproche.

*J'aurais cru que ce serais plus tranquil parmis les mortels, tss...*

Les lourdes porte se refermait brutamment derrière Nightmare juste au moment de l'éclércie nocturne...

"Je ne susi jamais loin très chère."

Il s'approcha de Louna et de l'inconnue, s'adressant a celui-ci

"Des amis a vous?"

Dit il en un signe de tête vers le gobelins qui tenaient une tête et qui était, semble t-il loin d'être pacifique...

"Hmmm j'en doute... maudits gobelins."

Il dégagea de son dos une énorme épée de pres de 1m80 de long.

Il trouvait que le terme de faire mal était éxagèrer vue la situation. Il s'abstina de commentaire, voyant Son compagnon se faire tué. il recula un peuregardant le sol pour ne plus viir ce spectacle. La femme et l'homme qui venait d'arriver était la a dire "a zut, maudit gobelin.." en se foutant éperduement que il y a avait quelqu'un sans tête, mort en train de se faire bouffer par des gobelins! Il regarda l'homme sortir un épée affreusement longue et se diriger vers les gobelins.

"quesque vous Êtes..." demanda t'il dans un murmur plus pour lui que pour louna mais celle-ci l'avait entendue.

Puisque Nightmare semblait occupé avec les dits goblin et qu'elle n'avait aucun goût de s'en préoccupé elle aussi, elle laissa Zoulia venir se percher sur son épaule et se tourna vers Raphaël.

*Es-ce vraiment une bonne idée de lui dire...?*

Songea-t-elle, en se rappellant le résultat obtenu dans le temple... Avec une petite grimace, elle décida de remettre les explications à plus tard.

"Rien d'important pour le moment. Allez, nous devons partir dès que Nightmare vous aurras venger."

*simpliste...*penssa t'il.l,évènement le tracassait pas plus qu'il faut mais les 2 drole le pincait un peu.Il fixa la femme remarquant sa complexité de son esprit. Elle devait être une certaine race inconnue à lui même. Il etourna voir ses boeufs, prpara la charue et retourna auprés des 2 personne.

"que ce passe t'il dans la ville?"

NIghtmare marchait vers les gobelins qui se demandaient a qui ils avaient a faire. Le premier, celui qui tenait la tête fut forcé de la lacher lorsque sa main se détacha du retse de son coprs par un coup d'épée, et qu'un seconde vint lui déchirrer l'abdomen. Celahir maniait cette lame comme si elle ne pesait que quelques grammes. Elle fusa a nouveau et vint déchiqueterp lus qu'elle ne coupa la tête d'un gobelin. Le dernier fuyait, le jeuen guerrier se baissa pour ramasser uen reche de la taille d'un poing et il la lancea. L'oeil humain ne put suivre le chemin qui prit le pierre, mais le bobelin s'effondra avec l'arrière du crane broyé. Nightmare essuya sa lame sur le pagne d'une gobelin mort et se retourna vers les autres.

"Alors, On y va?"

Louna répondit à la question de Raphaël.

"Pas grand chose d'intéressant, sauf si tu aimes les morts-vivants adorateur!"

Elle eut un petit sourir puis s'éloigna à pas légers. Elle ne savait pas trop où elle se dirigeait, mais allait surement bientôt le découvrir.Sûr, elle avait sûrement l'air d'une insensible auprès de ce mortel, mais elle savait que tout ces morts étaient bien souvent plus heureux dans leur deuxième demeure, après leur mort.


[En fait on s'en va vers Adlèvania!]

il resta là, sourcil levé, regardan la femme étrange partir tranquille. Ce qu'ilétait sur c'est qu'il ne pourrait pas aller vendre dans la ville. Il rattacha sa charueet se prépara a repartir, prés a retomber dans sa routine. Certe ennyante mais au combien facile a vivre. Cette aventure lui avait servie a rien mis a pars de lecon. Il contourna le cadavre de son ancien compagnon sans trop s'en faire. Mais la seul chose qui l'intriguait certe un peu mais pas asez pour posez la kestion était, ke c'était koi c'est zombie?

"Vous allez où?" demanda t'il plus pour sa curiosité que pars honnête service

'Oh... euh, je ne sais pas trop! peut-être... tiens, Adlëvania! C'est pas si loin non?"

Elle brassa distraitement ses cartes dans ses mains. Tout en marchant, elle décida de répondre plus précisément à la question de l'homme.

"Je m'apelle Louna. Toi c'est quoi?"

"Raphaël" dit il simplement. "vous ête a adlëvania" dit il ensuite remarquant l'errreur qu'avait dit louna. Il ne s'avait pas du tout d'où elle venait et ce qu'il c'était passé dans la ville. P-e était elle dangereuse? J'usqua présent elle n'en avait pas l'air...

Il soupira et dit ensuite: "alors? où allez vous?"

"Petit inculte!"

Répondit-elle agacée. Elle jeta un regard suppliant à Nightmare, et voyant qu'il ne répondait pas, elle corrigea Raphaël.

"Nous nous rendons À la ville d'Adlëvania. Vous savez, ce grand château qui fait la renommé du continent? Non mais ce n'est pas possible d'être si peu informé de nos jours!"

Elle fit une petite grimace et rangea ses cartes.

"Alors, Raphaël. Tu viens avec nous où tu vas traîner cette charette je ne sais où dans les bas fonds du continent?"

(dsl javais oublié...)

Raphaël se retourna, regardant ses boeuf, il préféra répondre au tac au tac. fatigué que l'on le prenne pour un innocent.

"Si vous y aller a pied sa va vous prendre un bon bout de temp...en charette c'est pas vraiment plus vite mais on gagne sur le temp des pauses et on gange l'énergie de marcher, mais c'est seulement un point sans importance j'imagine pour une femme qui saute des murs..."

Nightmare sourit a l'allusion de la femme sautant des murs... Ils pourraient bien y aller a pieds. En courant, à l'aide de la grande force de ses jambes il pourrait parcourir une grande distance en peu de temps... mais il avait suffisament attiré l'attention pour le moment.

"Je pense donc que nous vous demanderons de bien vouloir nous faire la faveur de nous y conduire... si ca ne vous derange pas bien sur."

Louna parrut se poser des questions un moment. Une femme sautant les murs... oh! Elle! Elle se mit à rire, amusée.

"Je ne fais pas cela à tout les jours! Ce serait bien gentil de votre part si jamais vous décidez de dire oui à Nightmare! Je ne savais pas qu'Adlëvania est si loin..."

Expliqua-t-elle, en bonne partie pour garder bonne figure.

Raphaël fronca un peu les sourcils. Il les fit embarquer dans sa charete et se dirigea vers la ville d'adlëvania. Il était plutot risqué d'embarque des gens aussi étrange mais pour lui ce n'était pas un danger mais une simple curiosité. Qu'allait donc faire ces deux personnes dans la ville fortifié? était'ce des tueurs a gage?

"ke ce passait t'il dans le château?" demanda t'il sanssuivre le cours de ses pensé pendant ke la charette se mettai en marche.