Les grandes portes

~Ces grandes portes d'acier sont uniques. L'acier étant un procédé d'alliange complexe dans cette ère, ce sont les seuls portes a jamais avoir été forgées. Un mécanisme hydraulique permet son ouverture, mais l'aide d'hommes est tout de même nécessaire. Les ramparts surplombent ces magnifiques portes.~

La petite charette s'approcha des portes de la ville. Le chemin fût long, et Louna ne décolèra pas. Assise à la gauche de Raphaël, les pieds dans le vide, elle gromelait tout bas. Lorsqu'elle vit les portes, elle eut un soupir à fendre l'âme.

"Encore et toujours des portes! De quoi ces humains peuvent-ils bien avoir peur pour se protèger à ce point!?"

Lança-t-elle tout bas, pour éviter que Raphaël ne l'entende. Elle ne désirait pas tout de suite expliqué ses performances accrobatiques...

Raphaël leva la tête vers les rampard au dessu des portes, elles était fermé masi sans doute l'on pouvait y entrer sans problème, ce n'était sans doute ke par sécurité. L charette s'arrêta au devant de la porte et raphaël demanda avec sa main droite en porte voix (lautre tenant les reines)

"il y a quelqu'un?" un garde apparue au haut de la rampard, et aprés une courte discussion, les portes s'ouvrit laissant le pasage a la charette et ,par logique, a ses occupant.

Apres plusieurs jours de marche elle arrivait enfin.
Aylina etait pres de la ville, elle pouvait apercevoir les grandes portes de fer qui la protegeaient.
En regardant de plus pres elle vit une charette avec plusieurs individus qui desirait entrer dans la ville.
Elle ralenti son allure et resta sur ses gardes.
Elle preferait rester a l equart,regarder et profiter de la situation.
C' est exactement ce qu'elle fit car elle put entre sans avoir a ce montre aux gardes ,les portes etaient dejas ouvetres pour le passage des etrangers.

[ dsl pour les accents j ai un mac, je peut pas les marquer sinon vous aller voir plein de ?? fack en esperent que vous comprendrer quand meme]

Kyoko, Ayame et Olyan arrivèrent finalement à Adlëvania. Connaissant bien les gardes, ils n'eurent aucun problème à les laisser passer, sans autre formalité. Il se retourna vers eux, afin de converser avant de pénétrer dans la ville.

"Vous êtes ici en terre royale. La royauté est beaucoup plus au centre, et de nombreuses patrouilles armés de l'armée se promènent dans la ville, afin d'y faire régner la paix. Vous êtes finalement rendu à destination, Kyoko. Ayame et moi devons nous préparer à repartir, et cette fois, vous ne pourrez pas vous joindre à nous. Au revoir, Kyoko. Que la route vous soit favorable, si vous devez la prendre."

Olyan lui fit un signe de tête en guise d'aurevoir, et se retourna vers la ville qu'il avait appris à si bien connaître.

"Venez Ayame. Nous avons du chemin à faire..."

Alors qu'il s'élançait sur le chemin, Ayame sur ses talons, il se mit à penser à Lorhènya, comme cela. C'est à ce moment-là qu'il l'entendit...

*Mon bel Olyan, revient moi vite...*

Il hâta alors le pas. Ils ne leur manquaient que quelques ingrédients, la plupart ayant été trouvé par Ayame sur le chemin. Ils devaient aller au sud, sur les steppes glaciales. Mais avant, un arrêt chez lui s'imposait.

"Merci vous m'avez bien été utile pour ce chemin. Alors je vous quitte j'espere bien que nos chemin ce recroiserons un jour..." Il dit cela en souriant et en riant très fortement.

*J'espère bien vous rerencontrez. Vous m'avez l'air très spécial...*

Il partit en se promenant dans les rues. J'usqu'à se qu'il vut une jeune femme à l'entrée de la ville. Il vu que les gardes ne voulait pas la faire entrée alors il cria:

"Laisser passer cette belle jeune femme elle a droit d'entrée dans ce village autant que moi!!!"

En vu de cela les gardes la laissa entrée sans riposter. Kyoko était fier de ce coup et ne savait pas comment cette jeune femme le prendrait...

Aylina fut surprise par la voix qui venait a son secour. Elle regarda l homme qui c etait aproche d elle et sourit.

*Dejas quelqu un avec qui s amuser, elle me plait bien cette ville*

La jeune femme s ecarta des gardes en les regardant froidement.
Elle se raprocha de l homme ses yeux maintenent radouci avec une petite lueur d amusemant en plus: Merci d etre venu a mon secour, je ne sais pas ce que j aurais fait sans vous. Dit-elle avec un sourire charmeur.

Zéphiré souria quand les gardes fit entré la jeune femme surtout que maintenant elle le remeciait de l'avoir fait entré. Il se sentait bizarre mais bien en même temps au côter de cette fille.

"Eh bien ce n'est rien... Après tout c'est en mon devoir d'aider les belles jeunes femmes telle que vous!" Il dit cela avec un grand sourire.

*Ah... parfait je viens seulement d'arriver dans ce village et je suis déjà accompagné d'une belle jeune femme!*

Il marcha dans la ville avec la jeune fille à ses côtés pendant un bon moment...

"Au fait pourquoi vouliez-vous entrer dans cette forterresse?"

(Enfin je peu démontrer mon personnage quand il est avec une belle jeune femme comme dans ma présentation.)

Olyan les écouta d'une oreille distraite. Il en comprit les grandes lignes, mais une profonde détermination l'habitait. Il poursuivit son chemin, guidant le cheval de bât à l'aide de sa deuxième main. Alors qu'ils traversaient les grandes portes, il s'adressa à eux.

"Et voilà, nous sommes partis. Nous devons arriver au plus tard, demain matin à Océania pour intercepter Ellundril. Maintenant, au galop!"

Et c'est ainsi qu'ils quittèrent tous les trois les terres royales d'Adlëvania.

[ben oui, faut bien apparaitre une fois par mois, vive les examens T_T]

"Bon, je vois que je ne suis le bienvenu au sein de cette cité, il ne reste d autres choix que de m en aller comme je suis venu, traversant plaines et boisages.
Peut-etre finirais-je par trouver quelques aventuriers en quete de fortune ou de gloire..."

et il s en alla sous les premiers rayons un pâle soleil déchirant l' obscurité oppressante d' une nuit qui s' eternisait...

[Rebienvenu, et oui, vive les examens x.x]

Eldorino posa le pied, lourdement, sautant de son cheval. Il regarda attentivement la porte, puis la franchit, de façon à entrer dans la ville. L'animation quotidienne de milliers de personnes menant leur propre vie anonyme, sans même y penser, vint le toucher profondémment. Il avança, son cheval bridé à ses côtés, pour embrasser du regards, mille et unes boutiques, où dames et messieurs se côtoient. Parfois, le passage d'un cheval laissait une trainée de sable instable dans son sillage, alors que des personnes miteuses d'apparence ragardaient avec des grands yeux mages et sorciers, qui déambulaient dans les rues comme si elles étaient siennes. Eldorino sourit de contentement, se disant que ce serait bien de commencer son départ par un tour rapide des rues...

[prochain post: les rues!]