Le bar

Raphaël le laissa sur le cntoire ou il atterissa et le fixa quelque seconde avant de le prendre et de le mettre dans sa poche.

il laissa un pourboire et décida de quitter les lieu, singulièrement tanné de cette ambiance glauque, il préféérai largement le noir dela nuit éveillé plutot que de dormir dans uneauberge qui sentait le renfermer.

Il sortie.

Invité

Avec un sourire en coin et un sourcil relevé,Aylina repondut:
«vous etes directe.Avant de repondre a cette question je doit parler a l aubergiste. Je revien ne bouger pas.»
sur ces mots elle se leva et se diriga vers le comptoir.Son pied se pris dans une chaise mal placer et elle tomba, se frappant la tete sur le plancher.Un clou mal placer lui rentra dans la tete.
C est ainsi que s' acheve sa vie.

[je suis desole kyoko mais j avais pas le temps de venir poster alors tu va avancer plus vite si je ne suis pas la,bon jeu et dsl encore de tout le temps que tu a perdu en ma compagnie.bye, pren soin de toi ]

Membre Nombre de messages : 52 Date d'inscription : 17/10/2005

Kyoko qui avait maintenant vu la jeune femme mourir se retourna vers la fenêtre. Il sortit par là cette fenêtre n'était pas très grande mais cela allait faire l'affaire. Le barman arriva vers lui mais déjà Kyoko courrait. Il passa plusieurs rues de la ville et sortit par l'entrée dont il y avait passé souvent. Il s'ennala vers la forêt et curieusement disparue sans que l'on en entendre parler plus souvent...

Louna s'était bien amusée à regarder les gens ici et là, elle avait même jouer avec quelques enfants, qui ne comprenant pas la signification des si belles cartes avec lesquelles elle jouait, avait abandonné la partie. Elle ne s'était surtout pas demandé pourquoi des enfants se trouvaient dans un lieu de grand, les mortels étaient si bizarre...

Pour tromper son ennui, elle se mit à danser. La nuit et l'alcool aidant, les saoûlons prirent vite goût à cet amusement imprévu. Et lorsque la déesse, lasse de ses cabreries, voulut se rasseoir, ceux-ci se jetèrent avec des regards avares sur elle.

"Oups! J'ai fait une gaffe là... Zoulia, accroche toi!

Père du rire, mère du cauchemars, hasard sors moi de là et mène moi où la force est roi!"

Marmonant plus pour la forme que par réel nécessité si ce n'est que pour un minimum d'efficacité, elle tira l'une de ses cartes du hasard, espèrant que ce soit la bonne. Elle et son petit compagnon sous forme de lézard disparurent dans un pouf peu sonore, laissant les buveurs décontenancés.